Ouais, j'ai de sévères tendances à être misanthrope, et à détester la plupart des choses qui respirent sur cette foutue planète, et je pense que de toute manière j'aurai l'occasion et le temps d'expliquer pourquoi dans un prochain post remplie de haine viscérale et qui ne pourra soulever que l'indignation de la masse de moutons qui vont sûrement être amenés à lire mes conneries égocentriques et inutiles, mais quelque part, vous cherchez votre mal, alors venez pas vous plaindre.
Bref, certains auront déjà eu l'occasion de me lire il y a quelques années en arrière lorsque je tenais un blog du même acabit (mais quelques étages en-dessous dans la qualité) et l'on me demandera pourquoi je tiens à recommencer à tenir un blog et à cracher mon venin à la face de tout ce qui ne me revient pas, ce à quoi je répondrai, j'en sais rien du tout, vous me faites chier, tiens, si vous alliez sucer votre grand-père histoire que ce vieux légume serve encore à quelque chose ici bas au lieu de m'emmerder avec des questions à la con dans ce genre. J'avais tout simplement de nouveau envie d'écrire, de donner un avis critique, débattre, et susciter une réaction dans l'espèce de flanc qui leur sert de cervelas dont la consistance est égale à une assiette de purée mousseline foirée.
Il y a quelques années, je ne parlais que de sujets à la con que mon pittoresque cerveau d'adolescent arrogant pouvait comprendre et critiquer, autant dire que ça ne volait pas haut (même si c'était drôle, c'était déjà ça). Aujourd'hui je pense aborder des sujets plus sérieux... Mais garder ma verve infecte légendaire. Bon, légendaire jusqu'au bout de ma rue, mais légendaire quand même.
Si ça a des sujets à proposer, ou si ça a déjà des conneries à dire, ça peut se prononcer des maintenant.
Par "ça", j'entends la masse probable de crétins qui va se précipiter ici, perdre son temps à lire les conneries que je perd mon temps à écrire. Mais au moins on risque tous de bien rigoler, entre crétins on se comprend. Oui, parce que vous imaginez bien que le premier crétin dans l'histoire, c'est moi.
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